Présentation sur le budget de la sécu, la cotisation, la valeur ajoutée

Budget de la sécu, cotisation, valeur ajoutée: retrouvez la présentation d’Emanciper à l’assemblée populaire de la 4ème circonscription de Savoie Le 13 janvier 2024, Emanciper a participé à cette assemblée populaire organisée par la NUPES de Chambéry, en présence du député Jean-François Coulomme, et d’environ 70 participants.  Retrouver le flyer Lire la suite…

Le capitalisme en détresse

Le capitalisme en détresse – d’après 2 financiers Ces 2 analystes sont des banquiers spéculateurs, conseillers high level en investissement d’entreprise, qui brassent probablement des milliards. Ils décrivent étonnamment bien la crise de surproduction (sans la nommer) du capitalisme que nous vivons. Ça m’a paru très intéressant (sauf les préconisations Lire la suite…

Le consensus, un angle mort de la démocratie

Signifiant « accord » en latin, le terme de consensus traverse l’histoire politique depuis l’antiquité. Sous la plume du juriste romain Cicéron, le « consensus universorum » désignait le « rassemblement de toutes celles et ceux qui s’accordaient sur un principe modéré ».[1] Souvent associé à l’unanimité, le « consensus » serait synonyme de concorde, d’harmonie, d’unité. Appeler Lire la suite…

RIC CONSTITUANT : UN PREMIER DROIT POLITIQUE, UN OUTIL D’ÉMANCIPATION (partie 2)

Il est bon de rappeler que le RIC Constituant est une modification constitutionnelle instaurant le référendum obligatoire et le droit d’initiative citoyenne Constituant dans l’article 89 de la Constitution française, qui énonce les règles nécessaires à sa modification. C’est un outil pour décider et non pas pour être seulement consulté. Actuellement, nous ne sommes pas libres car nous ne pouvons rien décider que ce soit au niveau national ou local.

RIC CONSTITUANT : UN PREMIER DROIT POLITIQUE, UN OUTIL D’ÉMANCIPATION (partie 1)

Le constat est édifiant. La population est mise « hors-jeu ». Elle a quelques droits civiques mais ne possède aucun droit politique. Elle ne vote pas, elle se contente d’élire. Et entre deux élections, elle ne peut pas contrôler ses élus (article 27 de la Constitution) . Le peuple est systématiquement écarté du pouvoir au profit d’une oligarchie insubmersible qui survit à l’alternance. On peut changer les joueurs mais le jeu, lui, ne change pas. Il faut donc ouvrir les portes de la démocratie réelle face à un monarque présidentiel aux pouvoirs extravagants.